Papakinece, qui signifie « l’étincelle », est cette flamme intérieure qui nourrit la créativité et illumine notre être. Minwashin est fier d’accompagner les créateurs et gardiens de la culture anicinabe dans leurs démarches artistiques. En parcourant le territoire anicinabe, nous cherchons à faire grandir cette lumière et à la partager avec le monde.

Papakinece, qui signifie « l’étincelle », est cette flamme intérieure qui nourrit la créativité et illumine notre être. Minwashin est fier d’accompagner les créateurs et gardiens de la culture anicinabe dans leurs démarches artistiques. En parcourant le territoire anicinabe, nous cherchons à faire grandir cette lumière et à la partager avec le monde.

« Quand je fais de l’artisanat, je vais beaucoup dans le bois. Je fais le tour des endroits où je suis déjà allée. C’est inspirant d’avoir grandi dans le bois, ça ne s’oublie pas. Je me trouve chanceuse d’avoir été élevée en forêt. »
Agathe Denis-Damé

« Ça fait longtemps que je réfléchis à écrire mon histoire. Un jour, je pourrai vous la raconter dans un livre. »

James Flamand

« Je veux garder notre savoir traditionnel vivant. Je veux conserver notre langue. C’est cela qui me motive! Je le fais pour les enfants. »

Grace Ratt

« Si on ne préserve pas le territoire, comment on va faire pour continuer de garder notre culture et nos enseignements… »

Geneviève Nottaway

« Choisir un arbre pour son écorce, ce n’est pas un choix que l’on fait à la légère, je prends contact avec la forêt, je regarde quel arbre est prêt à donner son écorce, car il gardera cette marque sur son tronc toute sa vie. »

Geneviève Nottaway

« Le mawisak sur l’écriture m’a permis de me faire des nouveaux souvenirs, de venir chercher des outils et de faire des contacts, la gang va me manquer. »

Sasheen Ruperthouse-Trapper - Après le mawisak sur l’écriture

« Ma grand-mère Juliette était aussi une couturière, elle faisait la couture pour tout le monde, des robes de mariée. Tu lui montrais une photo, elle prenait tes mesures, elle faisait la robe sans patron. Les gens découpaient une photo de catalogue et disaient “c’est ça que je veux!” Il n’y avait rien à son épreuve! »

Debra Chevrier Polson

« Mes parents m’ont inspiré à transmettre la langue, ma mère a été professeur dès l’âge de 19 ans dans la communauté. Donc c’était naturel pour moi de suivre les traces de mes parents. »

Stéphanie Tenasco

« Je pense à ce que je fais et à ceux qui vont le recevoir et qui seront contents. Je mets beaucoup d’énergie là-dedans, des bonnes choses, des bonnes pensées, des énergies. »

Agathe Denis-Damé

« J’ai observé mon père faire, et pareil pour mes frères et sœurs. C’était normal d’être présent avec nos parents et de regarder, et être attentif : c’est la façon de faire la transmission entre générations. »

Edouard Minawa Brazeau

« C’est un miracle ce qu’on est en train de faire, qu’on soit ici, à composer quelque chose avec ce qui est arrivé et de le transformer. Ça guérit le cœur. »

Alice Jérome - Après le mawisak sur l’écriture

« Faire une retraite d’écriture en territoire Anicinabe, ça permet de trouver d’autres façons de s’exprimer. »

Jason Frechette - Après le mawisak sur l’écriture

« J’ai regardé mes grands-parents fabriquer les “moose call” et les rames de canot, cela m’inspirait à faire les choses moi aussi. »

Dave Moushoum

« Pour moi, c’est ce qu’il y a de plus précieux dans ma culture, la langue! »

Edouard Minawa Brazeau

« Kokum Lina ne m’a pas enseigné en me commandant de “faire ceci” ou de “faire cela”, mais me faisait l’observer. Beaucoup d’observation sans faire quoi que ce soit, juste observer. Parfois, si elle avait besoin d’aide, je l’aidais, mais la plupart du temps, elle m’enseignait par l’exemple et c’est ainsi que nous étions éduqués : par l’observation et l’écoute. »

Grace Ratt

« Je veux que les gens sachent que nous sommes là et qu’il y a encore des gens qui font des choses artisanales. Tout est fait à la main, je pense que c’est ce qu’il y a de mieux. Cela a plus de sens pour les gens quand ils savent que c’est fait par un membre des Premières Nations, que c’est entièrement fait à la main. »

Debra Chevrier Polson

« Il n’y a pas d’âge pour apprendre des nouvelles choses, et l’écriture m’a toujours attirée. »

Monik Kistabish - Après le mawisak sur l’écriture

« Avec le mawisak d’écriture, on dirait que là c’est plus clair, je suis vraiment content d’être venu et j’ai hâte de commencer à écrire. »

James Flamand - Après le mawisak sur l’écriture

« J’ai observé mon père faire, et pareil pour mes frères et sœurs. C’était normal d’être présent avec nos parents et de regarder, et être attentif : c’est la façon de faire la transmission entre générations. »

Edouard Minawa Brazeau

« Je veux garder notre savoir traditionnel vivant. Je veux conserver notre langue. C’est cela qui me motive! Je le fais pour les enfants. »

Grace Ratt

« Ça fait longtemps que je réfléchis à écrire mon histoire. Un jour, je pourrai vous la raconter dans un livre. »

James Flamand

« Le mawisak sur l’écriture m’a permis de me faire des nouveaux souvenirs, de venir chercher des outils et de faire des contacts, la gang va me manquer. »

Sasheen Ruperthouse-Trapper - Après le mawisak sur l’écriture

« Faire une retraite d’écriture en territoire Anicinabe, ça permet de trouver d’autres façons de s’exprimer. »

Jason Frechette - Après le mawisak sur l’écriture

« Pour moi, c’est ce qu’il y a de plus précieux dans ma culture, la langue! »

Edouard Minawa Brazeau

« Ma grand-mère Juliette était aussi une couturière, elle faisait la couture pour tout le monde, des robes de mariée. Tu lui montrais une photo, elle prenait tes mesures, elle faisait la robe sans patron. Les gens découpaient une photo de catalogue et disaient “c’est ça que je veux!” Il n’y avait rien à son épreuve! »

Debra Chevrier Polson

« Choisir un arbre pour son écorce, ce n’est pas un choix que l’on fait à la légère, je prends contact avec la forêt, je regarde quel arbre est prêt à donner son écorce, car il gardera cette marque sur son tronc toute sa vie. »

Geneviève Nottaway

« Mes parents m’ont inspiré à transmettre la langue, ma mère a été professeur dès l’âge de 19 ans dans la communauté. Donc c’était naturel pour moi de suivre les traces de mes parents. »

Stéphanie Tenasco

« Il n’y a pas d’âge pour apprendre des nouvelles choses, et l’écriture m’a toujours attirée. »

Monik Kistabish - Après le mawisak sur l’écriture

« J’ai regardé mes grands-parents fabriquer les “moose call” et les rames de canot, cela m’inspirait à faire les choses moi aussi. »

Dave Moushoum

« C’est un miracle ce qu’on est en train de faire, qu’on soit ici, à composer quelque chose avec ce qui est arrivé et de le transformer. Ça guérit le cœur. »

Alice Jérome - Après le mawisak sur l’écriture

« Si on ne préserve pas le territoire, comment on va faire pour continuer de garder notre culture et nos enseignements… »

Geneviève Nottaway

« Avec le mawisak d’écriture, on dirait que là c’est plus clair, je suis vraiment content d’être venu et j’ai hâte de commencer à écrire. »

James Flamand - Après le mawisak sur l’écriture

« Je veux que les gens sachent que nous sommes là et qu’il y a encore des gens qui font des choses artisanales. Tout est fait à la main, je pense que c’est ce qu’il y a de mieux. Cela a plus de sens pour les gens quand ils savent que c’est fait par un membre des Premières Nations, que c’est entièrement fait à la main. »

Debra Chevrier Polson
« Quand je fais de l’artisanat, je vais beaucoup dans le bois. Je fais le tour des endroits où je suis déjà allée. C’est inspirant d’avoir grandi dans le bois, ça ne s’oublie pas. Je me trouve chanceuse d’avoir été élevée en forêt. »
Agathe Denis-Damé

« Je pense à ce que je fais et à ceux qui vont le recevoir et qui seront contents. Je mets beaucoup d’énergie là-dedans, des bonnes choses, des bonnes pensées, des énergies. »

Agathe Denis-Damé

« Kokum Lina ne m’a pas enseigné en me commandant de “faire ceci” ou de “faire cela”, mais me faisait l’observer. Beaucoup d’observation sans faire quoi que ce soit, juste observer. Parfois, si elle avait besoin d’aide, je l’aidais, mais la plupart du temps, elle m’enseignait par l’exemple et c’est ainsi que nous étions éduqués : par l’observation et l’écoute. »

Grace Ratt

Objectifs et valeurs

En harmonie avec notre mission, ce programme soutient les artistes à chaque étape de leur parcours créatif, en tissant des liens humains et en amplifiant leurs voix.

Papakinece alimente des moments de partage uniques qui inspirent la créativité et favorisent l’épanouissement artistique. Ces rencontres ouvrent des portes vers de nouvelles opportunités, tout en renforçant les liens précieux entre porteurs culturels, artistes et artisans. Avec cette démarche, nous valorisons leurs savoir-faire et transmettons le riche patrimoine anicinabe.

Mawisak

Mawisak, en anicinabe, incarne « être et partager ensemble ». Ce n’est pas qu’une résidence d’artistes ou une formation, mais un espace-temps unique où l’on s’arrête pour se reconnecter à son art et à sa communauté.

Né du désir des porteurs culturels pour approfondir les savoir-faire traditionnels et contemporains comme la musique, le perlage, l’écriture, les arts textiles et bien plus encore, les mawisak offrent une opportunité précieuse : celle d’explorer des moyens d’expression modernes tout en préservant le lien culturel profond et l’importance d’un message authentique.

Lors de ce moment suspendu, artistes et créateurs se rassemblent pour s’inspirer, partager leurs expériences et tisser des liens précieux, le tout sous différentes thématiques. C’est un lieu de transmission et d’évolution, un pont entre tradition et innovation, au cœur de la culture anicinabe.

Nos mawisak

écriture et
poésie

3 jours au Lac Joncas, en plein milieu du Parc La Vérandrye, où le temps s’est arrêté afin d’ouvrir cette fenêtre créative sur l’écriture et la poésie. Un groupe composé d’ainés et d’écrivains, amateurs autant que professionnels, venus partager des moments de réflexions et d’écriture. Nous avons même composé une chanson tous ensemble!

CONFECTION ET
TEXTILES

Une belle aventure d’une semaine à Santa Fe (Nouveau-Mexique) au Indian Market, pour s’inspirer, discuter, s’ouvrir aux possibles créatifs, aller à la rencontre d’artistes autochtones de partout dans le monde et ce, dans l’objectif de créer une œuvre textile dans le cadre de l’exposition NIN.

MUSIQUE ET
COMPOSITION

Deux semaines d’écriture et de composition, qui ont menées à un album de musique, co-produit avec Musique nomade, en Anicinabemowin sur les 6 saisons : Nogom Nikamowin. Le processus d’écriture des chansons s’est fait avec plusieurs dialectes, ce qui donne une richesse unique à l’expérience et aux chansons.

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Crédits photo : Minwashin, Marie-Raphaëlle LeBlond et France Lemire.