Le système des pensionnats visait directement à assimiler les enfants des Premières Nations à la société dominante, par le biais d’une scolarisation se déroulant à l’année longue, loin des parents. En obligeant les familles anicinabek à y envoyer leurs enfants, en y interdisant l’usage de la langue maternelle, et en raison de divers sévices subis dans ces établissements, le système des pensionnats a contribué fortement au « génocide culturel » des Anicinabek.